Vie de misère pour les poulets
Derrière les murs d'un élevage et d'un abattoir du groupe Doux
Dans les élevages standard, les poulets, exploités pour la production de viande, sont sélectionnés génétiquement et nourris pour produire un maximum de chair, le plus vite possible. La croissance accélérée de leurs muscles est telle que le reste de leur organisme ne peut pas suivre. Beaucoup sont atteints de problèmes cardiaques ou pulmonaires ou n’arrivent même pas à tenir sur leurs pattes. Ils sont tués à la chaîne à l’abattoir vers leur 35ème jour.
600 millions de poulets endurent ce calvaire chaque année en France. Et des millions d’entre eux meurent dans les élevages, avant même d’être envoyés à l’abattoir.
Orphelins précoces
Les poussins n’ont aucun contact avec leur mère.
Enfer industriel
Des dizaines de milliers de poulets sont entassés dans un seul bâtiment.
Souffrance généralisée
Dans les élevages standard, ⅓ des poulets sont boiteux.
Croissance forcée
Aujourd’hui, les poulets grossissent 4 fois plus vite qu’en 1950.
Hécatombe quotidienne
Chaque jour, l’éleveur ramasse des dizaines de cadavres.
Accrochage conscient
À l’abattoir, les poulets sont suspendus par les pattes, vivants et conscients.
Historique de l'enquête
Plus de 40 000 personnes ont signé la pétition.
1ère diffusion des images de l'enquête dans "Quotidien", l'émission de Yann Barthès sur TMC.
Elevage : une vie de misère pour les poulets Doux
Abattoir Doux de Chantonnay : 240 poulets tués à la minute !
Nos nombreuses autres enquêtes prouvent que la maltraitance animale n’est pas un fait isolé mais une routine systémique Et qu’il est urgent d’arrêter (ou au moins réduire significativement) la consommation de viande et de produits animaux.