Les images tournées fin 2016 à l'abattoir de Houdan montrent des employés qui s’acharnent sur des cochons pour les faire avancer dans le couloir de la mort. Chocs électriques et coups sont portés avec violence sur les animaux parfois jusqu’à les sonner. Des cochons qui se trouvent bloqués dans les couloirs inadaptés sont décoincés à coups d’aiguillons appliqués sur les yeux. Quant aux services vétérinaires, ils ont failli à leur mission de contrôle.
Les animaux ont désespérément besoin de nous. Ne les oublions plus, agissons pour eux.
Même coincés, les cochons continuent à recevoir des chocs électriques.
Dans la porcherie, des cochons sont entassés et s'agressent les uns les autres.
Deux cochons dans la porcherie de l'abattoir. Leur dernière nuit avant d'être gazés puis saignés.
Les cochons sont gazés au CO2, méthode d'étourdissement aversive pour les animaux qui s'asphyxient avant de tomber en inconsience.
En cas de panne, comme c'est le cas ici, les cochons sont entassés à même le sol. Des employés marchent sur les corps pour continuer leur travail.
Même coincés, les cochons continuent à recevoir des chocs électriques.
Dans la porcherie, des cochons sont entassés et s'agressent les uns les autres.
Deux cochons dans la porcherie de l'abattoir. Leur dernière nuit avant d'être gazés puis saignés.
Les cochons sont gazés au CO2, méthode d'étourdissement aversive pour les animaux qui s'asphyxient avant de tomber en inconsience.
En cas de panne, comme c'est le cas ici, les cochons sont entassés à même le sol. Des employés marchent sur les corps pour continuer leur travail.
En appel, la condamnation de l’agent des services vétérinaires est confirmée. Celle du directeur est allégée, il est relaxé sur les infractions d’installations non-conformes et de personnel non qualifié.
Le tribunal de police a condamné l'abattoir pour maltraitance envers les cochons. Le directeur a été condamné à verser 2 500 €, le fonctionnaire de la DPPP 750 € et les trois anciens employés de 600 à 3 300 €. Le directeur et le fonctionnaire de la DDPP ont fait appel de cette décision.
Jeudi 21 février se tient au tribunal de police de Versailles le procès de l’abattoir. Le directeur, trois salariés et un agent des services vétérinaires sont sur le banc des prévenus. Plus de 60 infractions ont été retenues par le Procureur pour engager des poursuites.
Aidez-nous à porter la voix des animaux et à obtenir des avancées pour eux.
L'association montre les conditions de vie, de transport et d'abattage des animaux en s'appuyant sur des enquêtes filmées, soulève des questions éthiques et propose des solutions à mettre en oeuvre aux niveaux politique et individuel.
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