
La souffrance des pintades en cage

Élevage en cage : une cruauté légale
Ces images montrent les pintades reproductrices d’un couvoir du groupe LDC. Inséminées pour produire des œufs fécondés, ces pintades sont entassées dans des cages, sans pouvoir ni se redresser, ni étendre leurs ailes. Certaines, blessées, sont laissées sans soin, d’autres ne survivent pas.
Poules pondeuses ou cailles serrées les unes contre les autres, lapins dont les pattes se coincent dans le sol grillagé, veaux laitiers séparés de leurs mères et isolés dans des boxes, truies qui ne peuvent que se lever ou se coucher… L’enfer des cages concerne de nombreuses espèces.
Pourtant, ce mode d’élevage est encore légal – et pour certains animaux, comme pour ces pintades reproductrices, il pourrait le rester si nous n’agissons pas : signons et relayons cette pétition !
Exigeons la fin des cages
pour TOUS les animaux
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Un élevage sordide de pintades reproductrices

Pintades reproductrices
Ces pintades produisent des « œufs à couver », c’est-à-dire des œufs fécondés. Leurs pintadeaux sont vendus à l’industrie de la viande.

Inséminées artificiellement
Pour produire ces œufs, les femelles sont inséminées une à une avec la semence prélevée au préalable chez des animaux mâles.

Enfermées
Dans ce bâtiment, les cages s’étendent à perte de vue. Plus de 4 000 pintades y sont détenues, si serrées qu’elles ne peuvent pas étendre leurs ailes.

Des blessures non soignées
En essayant de se percher, les pintades se blessent entre elles. Les larges écorchures qu’elles ont parfois aux flancs se nécrosent petit à petit.

Une production maximisée
Pour stimuler la ponte, les pintades sont soumises à un éclairage artificiel de 15 heures par jour. Leur alimentation est rationnée.

Déplumées, épuisées, agonisantes…
Certaines pintades paraissent à bout de force, d’autres ne peuvent plus se lever et attendent la mort. Des cadavres sont laissés à l’abandon.

Cet élevage appartient au groupe LDC
Le groupe LDC est connu pour ses marques Le Gaulois, Marie ou Maître CoQ. Plusieurs enquêtes ont déjà révélé les souffrances que les animaux endurent pour ce géant de l’agroalimentaire : poulets soumis à une sélection génétique extrême, chevreaux à l’engraissement, lapins agonisants… Il est urgent que LDC s’engage contre les pires pratiques de l’élevage intensif.
Actualités
Jeudi 10 août
L214 révèle une nouvelle enquête dans un élevage de pintades reproductrices. C’est la première fois que ce mode d’élevage est filmé, alors même que la France représente 80 à 85 % de la production de pintades au niveau mondial.
Lire notre communiqué de presse
Mercredi 9 août
L214 porte plainte contre l’établissement Goubaud pour mauvais traitements sur animaux commis par un professionnel.

L214 souhaite que notre société reconnaisse que les animaux ne sont pas des biens à notre disposition et que leurs intérêts méritent notre considération.