Vous aussi, tournez le dos au numéro 1 de l'élevage intensif en faisant vos courses. C'est facile !
Tournons le dos au numéro 1 de l’élevage intensif !
LDC fait élever et abat plusieurs centaines de millions d’animaux chaque année en France – principalement des poulets, mais aussi des poules pondeuses, des chèvres, des lapins, des pintades... Ce chiffre vertigineux fait de ce discret géant de l’agroalimentaire le numéro 1 de l’élevage intensif en France.
Les enquêtes de L214 sur LDC s’accumulent comme autant de preuves des multiples souffrances endurées par les animaux pour ce géant de l’agroalimentaire. Pourtant, LDC ne prend toujours aucune mesure sérieuse pour faire évoluer ses pratiques.
La majorité des animaux élevés pour LDC sont issus d’une sélection génétique poussée, destinée à les rendre plus productifs, au détriment de leur santé : ils sont nombreux à souffrir de maladies cardiaques et pulmonaires ou de troubles musculo-squelettiques. Pour l’engraissement, ils vivent entassés les uns contre les autres dans des hangars fermés, parfois en cage, sans jamais pouvoir respirer l’air pur, et sont empêchés de satisfaire leurs besoins comportementaux : les oiseaux ne peuvent pas étendre leurs ailes, les chevreaux ne peuvent pas sauter, les lapins ne peuvent pas faire de nids pour leurs petits…
L’élevage intensif cause d’innombrables problèmes environnementaux : émissions de gaz à effet de serre, déforestation, gaspillage de l’eau, pollution des sols… LDC, champion de l’élevage intensif en France, a déjà été épinglé plusieurs fois : importations de soja OGM du Brésil, export de poulets français vers l’Arabie saoudite, ou encore accaparement des ressources en eau.
Produire toujours plus de viande, toujours moins cher, ça n’est pas sans conséquence pour les humains. Non seulement l’élevage intensif représente une menace sanitaire (risques accrus de zoonoses – maladies transmissibles de l’animal à l’humain – et augmentation de l’antibiorésistance), mais l’implantation de ce type d’élevage impacte également les riverains : LDC a déjà été pointé du doigt en raison de l’odeur pestilentielle émanant de certaines de ses usines. Les conditions de travail des éleveurs sous contrat avec LDC ou celles de ses ouvriers d’abattoir ont elles aussi été dénoncées.
La majorité des animaux élevés pour LDC sont issus d’une sélection génétique poussée, destinée à les rendre plus productifs, au détriment de leur santé : ils sont nombreux à souffrir de maladies cardiaques et pulmonaires ou de troubles musculo-squelettiques. Pour l’engraissement, ils vivent entassés les uns contre les autres dans des hangars fermés, parfois en cage, sans jamais pouvoir respirer l’air pur, et sont empêchés de satisfaire leurs besoins comportementaux : les oiseaux ne peuvent pas étendre leurs ailes, les chevreaux ne peuvent pas sauter, les lapins ne peuvent pas faire de nids pour leurs petits…
L’élevage intensif cause d’innombrables problèmes environnementaux : émissions de gaz à effet de serre, déforestation, gaspillage de l’eau, pollution des sols… LDC, champion de l’élevage intensif en France, a déjà été épinglé plusieurs fois : importations de soja OGM du Brésil, export de poulets français vers l’Arabie saoudite, ou encore accaparement des ressources en eau.
Produire toujours plus de viande, toujours moins cher, ça n’est pas sans conséquence pour les humains. Non seulement l’élevage intensif représente une menace sanitaire (risques accrus de zoonoses – maladies transmissibles de l’animal à l’humain – et augmentation de l’antibiorésistance), mais l’implantation de ce type d’élevage impacte également les riverains : LDC a déjà été pointé du doigt en raison de l’odeur pestilentielle émanant de certaines de ses usines. Les conditions de travail des éleveurs sous contrat avec LDC ou celles de ses ouvriers d’abattoir ont elles aussi été dénoncées.
Agissons, tournons le dos au groupe LDC
Vous aussi, tournez le dos au numéro 1 de l’élevage intensif en indiquant le nombre de produits des marques Le Gaulois, Marie et Maître CoQ que vous avez retournés en faisant vos courses.
Pour des raisons de sécurité nous ne comptabilisons que 50 barquettes par jour. Rdv demain pour enregistrer une nouvelle participation !
Retourne un maximum de produits du groupe LDC (marques Marie, Maître CoQ, Le Gaulois) et remets-les dans le rayon, face retournée.
Déclare le nombre de produits que tu as retournés ci-dessus ou en téléchargeant l’application.
Répète l’opération à chaque passage en supermarché !
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Cette action de retournement n’implique ni altération, ni dégradation des produits. Vous participez simplement à un mouvement citoyen.
- Si le personnel du supermarché vous interpelle, expliquez avec courtoisie que vous participez à un mouvement citoyen visant à alerter sur les pratiques révoltantes des marques du groupe LDC (Le Gaulois, Marie, Maître CoQ).
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Le nombre de barquettes retournées est obtenu par vos déclarations, sur l’application, le site tournonsledos.fr c'est à dire la présente page. Le compteur de barquettes se met à jour automatiquement, à chaque fois qu’une participation est ajoutée !
- Les produits des marques Le Gaulois, Marie et Maître CoQ appartiennent au numéro 1 de l’élevage intensif en France : le groupe LDC. Ces produits se trouvent au rayon frais (barquettes de viande, plats préparés…) ou surgelés (tartes, pizzas…).
- Aucun problème : il suffit de passer à un autre produit.
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Loué est bien une marque du groupe LDC, mais elle n’a pas recours aux méthodes de l’élevage intensif. Concentrons-nous sur les marques Le Gaulois, Marie et Maître CoQ.
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Retourner des barquettes en magasin peut sembler symbolique, mais en agissant directement en supermarchés, vous contribuez à rendre visible la demande portée à LDC quant au respect des critères du European Chicken Commitment. Par ailleurs, en renseignant le nombre de barquettes retournées sur le site ou l’app tournonsledos.fr, vous visibilisez votre action et participez au mouvement citoyen visant à encourager le groupe LDC à abandonner les pires pratiques de l’élevage intensif.
Vous souhaitez participer ?
Téléchargez l'application Tournons le dos pour agir au quotidien contre le pire de l'élevage intensif.