Réduire de moitié le nombre d’animaux tués pour l’alimentation française d’ici 2030 est possible. C’est une mesure de justice, de santé publique et d’intérêt collectif.
Chaque année, cela permettrait d’épargner 600 millions d’animaux terrestres et plus de 3,5 milliards d’animaux aquatiques. Et au-delà de cet impact essentiel pour les animaux, cette transformation profiterait à la société tout entière.
Réduire de moitié le nombre d’animaux tués chaque année, c’est épargner à 600 millions de cochons, veaux, vaches, poulets et autres oiseaux – soit 10 fois la population française – une vie misérable et une mise à mort violente.
Sortir de l’élevage intensif deviendrait possible, ouvrant la voie à des conditions d’existence moins terribles dans les élevages.
Ce serait un pas décisif vers :
C’est aussi une façon de limiter les risques sanitaires : grippe aviaire, grippe porcine, usage excessif d’antibiotiques…
Réduire de moitié le nombre d’animaux tués, c’est agir directement sur des causes de destruction environnementale.
Un régime plus végétal est recommandé par de nombreuses institutions scientifiques pour :
En changeant notre alimentation, nous gagnons en santé, individuellement et collectivement.
Les êtres humains peuvent parfaitement se passer de viande, lait, œufs et poissons en continuant d’être en bonne santé, de bien se nourrir et de partager des moments conviviaux.
Une consommation plus végétale rend également possible :
De nombreux travaux scientifiques, français et internationaux, confirment qu’une réduction massive de la production animale est non seulement souhaitable, mais nécessaire pour :
Les études les plus connues recommandent même des baisses allant jusqu’à 90 % pour la consommation de viande, 60 % pour la consommation de lait et de poissons, et 50 % pour celle des œufs.
« Chaque dixième de degré compte. Moins de production animale, c’est un levier immédiat pour le climat. »
— Synthèse du GIEC, 2022
Réduire de 50 %, c’est atteignable. C’est juste. Et c’est maintenant qu’il faut agir.
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